L’oeil s’égare dans des sentiers infinis, sans terme et sans issue,
qui se croisent, se mêlent, se confondent entre eux.
L’oeil s’égare dans des sentiers infinis, sans terme et sans issue,
qui se croisent, se mêlent, se confondent entre eux.
se constitue de 70 paysages mythologiques évoquant les Métamorphoses d'Ovide.
Le projet s'articule autour de la mise en scène instinctive d'éléments naturels issus du vivant et d'objets inertes. Par un agencement chorégraphié, les états changeants de la matière évoquent les états changeants de l'Être.
Ces paysages mettent en lumière les rapports de forces, les passions des hommes, l’inconstance des sentiments. Les variations démultipliées sont autant d'instantanés révélateurs de la complexité des liens qui unissent les hommes, la nature et le sacré.
La nature morte devient une image énigme à décrypter mais avant tout à ressentir.